Sur les réseaux sociaux, les campagnes médiatiques de la Journée mondiale de la rage atteignent le monde entier

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Les visites de la page Facebook de l’Alliance ont connu un afflux lors de la Journée mondiale de la rage ; ce post a été le plus

Lors de la Journée mondiale de la rage, l’Alliance a contacté 70 000 personnes via Facebook et Twitter, et au cours du seul mois de septembre, plus de 150000 personnes ont consulté le contenu de nos médias sociaux.

Des dizaines de milliers de personnes se sont rendues sur les site  de GARC et de End Rabies Now lors de la Journée mondiale, un grand nombre de visiteurs consultant le nouveau  Plan stratégique  ”Zero cas d’ici 2030“ annoncé conjointement avec l’OIE, la FAO et l’OMS.

En tant que principal facilitateur de la Journée mondiale de la rage, GARC a apporté des mises à jour du contenu sur 24 heures, publiant des posts de nos équipes aux Philippines, en Angleterre et aux Etats Unis tout au long de la journée.

GARC a téléchargé du contenu sur Facebook et Twitter avec des informations utiles sur la rage, la propriété d’animaux domestiques et la prévention des morsures. Plusieurs posts étaient ciblés sur les célébrations de la Journée mondiale de la rage, réunissant toute l’activité en ligne avec ce qui se passait hors ligne.

De plus, la directrice scientifique de l’Alliance, Louise Taylor, a participé à un chat sur Twitter lors de la Journée mondiale, organisé par Health4Animals avec d’autres experts de la rage d’Afrique, d’Amérique latine et d’Europe, une plateforme qui a permis au Dr. Taylor d’offrir une perspective globale des projets régionaux de prévention antirabique.

Alors que la Journée mondiale contre la rage est surtout axée sur des manifestations hors ligne, il devient de plus en plus important de proposer un espace en ligne aux personnes désireuses de discuter de la lutte antirabique, surtout s’il n’y a pas de manifestations à proximité. Tous les ans nous continuerons à entretenir la conversation au moyen du hashtag #WorldRabiesDay. N’hésitez pas à nous rejoindre l’an prochain !

Rédigé par Sophie Kay, GARC

Traduit par le Dr Brigitte Dunais, CHU de Nice, Nice, France